Pas de performance extrafinancière ? Pas de variable !

Et si les critères sociaux et environnementaux pesaient autant que les objectifs financiers dans la rémunération variable des dirigeants d’entreprise ? L’idée est défendue par Louise Schreiber directrice de la recherche ISR de la société de gestion Mirova. « Aujourd’hui, quand le poids des critères environnementaux et sociaux atteint 10%, c’est déjà pas mal. Dans l’idéal, il faudrait tendre vers 20%, 30%, et peut-être même 50% ! », estime-t-elle, appuyée sur ce point par Nicolas Loz de Coëtgourhant, responsable des partenariats entreprises de WWF France
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