Gouvernance des entreprises: pourquoi Berlin ose les quotas de femmes qui font hésiter Paris

"Je suis une femme quota". Sur les réseaux sociaux et à la Une du magazine Stern, quarante dirigeantes allemandes, dont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et la ministre fédérale de la Défense, Annegret Kramp Karrenbauer, ont accepté d’appuyer la démarche entreprise par le gouvernement d’Angela Merkel pour imposer la féminisation des grandes sociétés privées, ainsi que celle de certains organismes publics. Le 25 novembre, les partis de la coalition au pouvoir – chrétiens-démocrates de la CDU-CSU et sociaux-démocrates du SPD – se sont en effet mis d’accord sur un projet de loi instaurant des quotas de femmes à la direction des entreprises, qui viendra compléter l’obligation déjà en vigueur de compter 30% de femmes dans les conseils de surveillance. 
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