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Sept patrons, parmi lesquels Jean-Pierre Farandou (SNCF) et Anna Notarianni (Sodexo), appellent à une loi étendant la contrainte de mixité des conseils d’administration, créée il y a dix ans par la loi Copé-Zimmermann, à toutes les fonctions dirigeantes.
Dix ans après sa promulgation, la loi Copé-Zimmermann a fait la preuve de son efficacité. Mais le quota minimum de 40% de femmes dans les conseils d'administration des sociétés de plus de 250 salariés, n'a que modérément permis de féminiser les comités exécutifs.
Dix ans après l'adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui a imposé des quotas de femmes dans les conseils d'administration des entreprises, ces dernières occupent aujourd'hui plus de 45% des sièges d'administrateurs. Mais le gouvernement veut aller plus loin et féminiser les instances dirigeantes.
Le 20 janvier 2011, l'Assemblée nationale adoptait la loi Copé-Zimmermann imposant des quotas de femmes dans les conseils d'administration et de surveillance. Une loi efficace, mais qui demande à être complétée, concernant les instances exécutives des sociétés.
Provisoire ou durable, la dissociation des fonctions de président et de directeur général est en vogue. Les plans de succession récemment annoncés chez trois fleurons français se traduisent par une dissociation des fonctions.
Dans une étude réalisée pour Challenges, Ethics & Boards détaille ce qui sépare la France et l’Allemagne en matière de féminisation de la gouvernance des entreprises. Angela Merkel a jugé que sans nouveaux quotas, son pays ne pourrait pas progresser.
Group of asset managers calls on 120 biggest businesses to make 30% of executive management teams female by 2025
La ministre du Travail compte élargir l’« index Pénicaud », qui mesure les écarts salariaux entre les hommes et les femmes. Elle veut y ajouter une mesure de la part des femmes dans la population de cadres dirigeants. Ce projet remplace l'idée iconoclaste d'instaurer des quotas dans les comex.
La stratégie RSE, l’éthique et les attentes des parties prenantes montent en puissance dans les conseils d’administration, selon le baromètre EY de la gouvernance.
France has the highest female representation at 46.4 percent for companies on the CAC 40.
Le combat pour plus de diversité et de respect des différences est fondamental si l’on veut progresser vers une société plus équilibrée, plus inclusive qui réponde aux attentes des nouvelles générations.
La France est toujours en tête – après les Assemblées Générales 2020 – en termes de mixité des Conseils des grandes entreprises, avec encore du chemin à faire pour les Comex.
Le dispositif de la loi Copé-Zimmermann pourrait s’appliquer aussi aux entreprises de plus de 250 salariés
« Le Point » a disséqué les comités exécutifs des 120 plus grands groupes cotés de France. Les femmes sont rares. Très rares.
Le baromètre annuel EY invite les administrateurs à se doter de moyens efficaces pour identifier les signaux de dysfonctionnement en matière de gouvernance.
L'Agefi a décerné le 26 septembre à Paris ses Grands Prix du Gouvernement d'Entreprise à l'occasion de leur 16ème édition.
Un projet de loi en faveur de l’émancipation économique des femmes devrait voir le jour en 2020. Nouveaux quotas dans les entreprises et mesures pour faciliter la reprise d’activité après la maternité sont au menu. Tour d’horizon des pistes envisageables.
Les entreprises de plus de 250 salariés avaient jusqu'au 1 er septembre pour calculer et publier leur Index d'égalité professionnelle. Mais selon le ministère du Travail début août, seulement 10 % d'entre elles avaient publié leurs résultats. Mis en place à partir de septembre 2018, d'abord pour les grandes entreprises, cet indicateur permet de comparer la situation des femmes et des hommes dans la même entreprise. Et d'identifier une éventuelle discrimination de traitement.
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